Pour le dernier face-à-face entre les deux hommes qui briguent la succession de George Bush et la direction des Etats-Unis, les électeurs américains ont enfin eu droit à un véritable débat entre Barack Obama et John McCain.
John McCain a donné là sa meilleure prestation des trois débats télévises.
Il a en effet pris ses distances avec George Bush, avec une netteté qu’il n’avait pas manifestée auparavant.
“Je ne suis pas le président Bush, et si vous, Barack Obama, voulez vous présenter contre le président Bush, vous auriez du le faire il y a quatre ans”, a ainsi lancé John McCain.
“L’Amérique a besoin d’une nouvelle direction et toute mon expérience atteste de ma capacité à apporter des réformes”, a sssuré John McCain.
Le candidat du parti républicain de George Bush a reconnu que “les Américains sont en colère” et il a indiqué avoir été “décu” par certaines politiques de l’Administration Bush, notamment par certains aspects du plan de sauvetage de 700 milliards de dollars en faveur des banques privées.
John McCain a voté pour ce plan, mais a souligné hier soir que le plan ne s’attaque pas à la cause initiale de la crise économique et financière, à savoir, la crise immobilière qui a demarré il y a plus d’un an.
Barack Obama a lui-aussi voté pour le plan de sauvetage des banques privées, mais lors du débat, le candidat démocrate a regretté que ce plan ne prévoit pas de “sauvetage pour la classe moyenne”.
Mené dans l’opinion par 14 points, selon un sondage publié juste avant le débat par la chaine CBS, John McCain s’est montré agressif envers son adversaire et son programme.
John McCain a accusé Barack Obama de vouloir augmenter les impots et les dépenses publiques à un moment ou le pays est en crise.
Par contraste, John McCain a promis d’imposer un gel des dépenses publiques et d’équilibrer le budget.
“J’ai toujours sauvegarder avec soin l’argent des contribuables”, a affirmé le candidat républicain.
Mais malgré la bonne prestation de John McCain, Barack Obama, qui n’a pas fourni dans ce débat sa meilleure prestation, a rempli l’objectif qu’il devait remplir: continuer à apparaitre présidentiable, c’est à dire garder son calme face aux critiques et éviter toute erreur ou gaffe.
John McCain a donné là sa meilleure prestation des trois débats télévises.
Il a en effet pris ses distances avec George Bush, avec une netteté qu’il n’avait pas manifestée auparavant.
“Je ne suis pas le président Bush, et si vous, Barack Obama, voulez vous présenter contre le président Bush, vous auriez du le faire il y a quatre ans”, a ainsi lancé John McCain.
“L’Amérique a besoin d’une nouvelle direction et toute mon expérience atteste de ma capacité à apporter des réformes”, a sssuré John McCain.
Le candidat du parti républicain de George Bush a reconnu que “les Américains sont en colère” et il a indiqué avoir été “décu” par certaines politiques de l’Administration Bush, notamment par certains aspects du plan de sauvetage de 700 milliards de dollars en faveur des banques privées.
John McCain a voté pour ce plan, mais a souligné hier soir que le plan ne s’attaque pas à la cause initiale de la crise économique et financière, à savoir, la crise immobilière qui a demarré il y a plus d’un an.
Barack Obama a lui-aussi voté pour le plan de sauvetage des banques privées, mais lors du débat, le candidat démocrate a regretté que ce plan ne prévoit pas de “sauvetage pour la classe moyenne”.
Mené dans l’opinion par 14 points, selon un sondage publié juste avant le débat par la chaine CBS, John McCain s’est montré agressif envers son adversaire et son programme.
John McCain a accusé Barack Obama de vouloir augmenter les impots et les dépenses publiques à un moment ou le pays est en crise.
Par contraste, John McCain a promis d’imposer un gel des dépenses publiques et d’équilibrer le budget.
“J’ai toujours sauvegarder avec soin l’argent des contribuables”, a affirmé le candidat républicain.
Mais malgré la bonne prestation de John McCain, Barack Obama, qui n’a pas fourni dans ce débat sa meilleure prestation, a rempli l’objectif qu’il devait remplir: continuer à apparaitre présidentiable, c’est à dire garder son calme face aux critiques et éviter toute erreur ou gaffe.
ไม่มีความคิดเห็น:
แสดงความคิดเห็น